• A lire dans l'Indépendant de ce matin, une interview exclusive du maire d'Elne. Et l'élu d'y faire une révélation tout à fait sensationnelle à propos de ses idées politiques. Figurez-vous que le tombeur de Nicolas Garcia aux dernières municipales se situe "en dehors des partis. Je suis un homme libre et modéré." Rien que cela, on en a déjà notre petite larme. Mais notre homme n'entend pas s'arrêter là et d'inventer un nouveau concept qui, c'est sûr, va révolutionner le monde politique des prochaines années: " Je dirais que je suis écologiste centriste." Bon en clair, le Maire d'Elne est à la fois Vert, U.D.I., MODEM, sans étiquette, mais aussi copain avec les gens de l'U.M.P., mange avec les amis de Corinne Lepage une fois par mois....En clair, il ratisse large le gars. Large, très large mais surtout à droite quand même.

    Et bien entendu le bonhomme d'annoncer que s'il doit se présenter aux élections départementales, ce sera sans étiquette et dans le "seul intérêt du territoire". Il prend les gens pour qui Yves Guignol?

     


  • Il a longtemps hésité, a tout d'abord préféré mettre en avant sa doublure mais n'a finalement pas pu s'empêcher: Daniel Mach, alias Rocky 66, sera bel et bien candidat aux élections cantonales (pardon départementales mais on s'y perd un peu) face au Maire de Thuir et conseiller général sortant René Olive. Un sacré challenge pour l'ancien boxeur qui a la sale habitude perdre la plupart de ses combats lorsqu'il ne les dispute pas dans sa bonne ville de Pollestres. Le pauvre Moriconi, lui, devra une nouvelle fois rester aux bords du ring pour encourager son boxeur de Maire qui a tout de même réussi l'exploit d'être battu par Jacques Casse-Toi aux dernières législatives. A l'UMP, il le paye bien leur boxeur pour se prendre une râclée?


  • Comme Jean Casse-Têt est un homme tourné vers l'avenir, sa grande occupation consiste désormais à parler du passé. Aussi, le Maire de Prades a-t-il décidé de se transformer en conférencier érudit sur l'histoire du train dans sa bonne ville de Prades. Des conférences qui pourraient même donner naissance à un livre étant donné l' engouement extraordinaire que suscite ce travail chez les chômeurs et tous ceux qui ont du mal à boucler les fins de mois.

    Si vous voulez en savoir plus, nous vous conseillons de regarder attentivement la photo publiée ce jour par l'Indépendant où vous comprendrez vite que ce sujet a littéralement tourné Jean Casse-Têt vers la grâce divine. De quoi même détourner notre bon Jean de la basse politique. C'est donc sans doute avec sa nouvelle mine de séminariste que Frère Jean vous invite à sa conférence ce samedi à 17heures au cinéma Le Lido pour communier avec lui. Vous pourrez aussi prier pour le salut de 160 moutons entrés en collision avec un train en novembre 1898 au niveau de Marquixanes et à qui personne n'avait pensé jusque-là.

    De là à annoncer qu'il ne vise que le poste de directeur régional de la SNCF...

    Amen.

     


  • Jean-Christophe Lagarde, le nouveau Préisdent national de l'UDI, avait prévenu : "le centre mou, c'est fini". Et bien, aussitôt élu, aussitôt fait. Et Lagarde de débarquer sans plus attendre (et sans prévenir personne) le pauvre Romain Grau de son poste de secrétaire départemental du mouvement.

    Et pour mettre qui à la place? Fabrice Vilard, l'ancien chef de cabinet d'Alduy qui ne s'est jamais remis d'avoir été proprement viré par... Alduy et Pujol juste avant l'élection municipale de 2009.

    Le problème, c'est que la méthode rappelle étrangement celle du RPR des grandes années où le culte du chef était bien le seul qui vaille. De quoi semer un peu le trouble dans les rangs centristes locaux plus habitués aux bonnes manières qu'aux méthodes expéditives. Quant à Romain Grau, fidèle à lui-même, il ne dit pas un mot. Histoire sans doute de se fâcher avec personne, on ne sait jamais.


  • Une nouvelle fois, Fernand Siré prouve à quel point il porte mal son nom. Après avoir voté contre la fusion des régions en première lecture, le député très droitier de la 2ème circonscription a cette fois fois voté pour. Oh,bien sûr, certains s'empresseront de dire que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis mais là l'argument semble tout de même un peu court.

    Gageons plutôt que si le Siré a retourné sa veste, c'est qu'il s'est fait tancé vertement par ses amis UMP des Pyrénées-Orientales, Pujol en tête, qui se sont empressés d'aller faire allégeance au Maire de Toulouse. Après tout, quand on ne sait pas prendre soi-même en main son destin, autant laisser d'autres s'en occuper. A l'U.M.P., c'est ce qu'on appelle un projet d'avenir. 


  • Le problème de la matinale de France Bleu Roussillon, c'est qu'elle est programmée le matin!

    D'où parfois une certaine difficulté à comprendre les propos tenus par les invités et autres interviewés. Dans ce domaine, on a battu des records avec l'entretien accordé par Pierre Yadlaglace, député-Maire socialiste d'Argelès. Mais comme on a mis ça sur le compte d'un sommeil plus lourd que d'habitude, nous sommes allés vérifier ses propos sur le site de la radio publique. Et là, stupeur! c'est bien Yadlaglace qui a dérapé au point d'en devenir incompréhensible.

    Interrogé au sujet de la fusion des Régions, l'élu catalan commence par affirmer que cette fois il ne s'abstiendrait plus : " Parce que la fusion va se faire, c'est inutile, c'est idiot, c'est du temps perdu. Par contre à la mémoire de Christian bourquin, je vais marquer le coup parce que je crois que c'était un grand monsieur."

    Et le journaliste de demander pourquoi alors ne pas voter contre comme Christian Bourquin.

    Nom d'un chien, Yadlaglace alors très en verve de répondre que "les jeux sont joués, les dés sont jetés...voilà tout simplement. Oh il m'arrive d'être frondeur, vous savez, pas souvent, mais ça m'arrive."

    Si vous y comprenez quelque chose, vous pous pouvez appeler le standard de France Bleu Roussillon et participer au jeu du schmilblik et poser cette question : est-ce que le chmilibilibilik vote pour ou contre?

    En fait vous n'avez aucune chance parce que le mentor de Yadlaglace s'appelle Jacques Casse-Toi et qu'il s'est finalement abstenu.

    "C'est inutile, c'est idiot, c'est du temps perdu" mais c'est comme cela.


  • Jour de vote solennel à l'Assemblée Nationale sur la très controversée fusion des régions. On attendait donc avec impatience le vote des députés socialistes des Pyrénées-Orientales et notamment celui de Jacques Casse-Toi. Celui qui se présente comme l'homme le plus fidèle à Christian Bourquin devait en toute logique poursuivre le combat de son mentor aujourd'hui disparu.

    Et bien non! Sur un sujet aussi essentiel, figurez-vous que Jacques Casse-Toi (également, mais c'est un détail, Vice-Président de la région Languedoc-Roussillon) n'a en réalité aucune position! Ni pour, ni contre, il n'en pense rien. Ou alors il s'en fiche. D'où une abstention en bonne et due forme qui ne manquera pas d'être appréciée dans les rangs socialistes catalans avec lesquels Jacques-Casse-Toi est, c'est vrai, déjà en délicatesse.

    Au fait, quitte à s'abstenir, autant que ce soit de faire des conneries non?

     


  • Après la série bien connue des Martine, voilà que le journal L'Indépendant vient de lancer une nouvelle bande dessinée à succès mais cette fois en direction des moins jeunes.

    Trois ou quatre fois par semaines, votre journal "préfet...ré" vous fait désormais vivre les aventures de Josiane dans notre beau territoire des Pyrénées-Orientales. Josiane à Canet, Josiane à Saint-Cyprien, Josiane à Port-Vendres mais aussi Josiane à la montagne, Josiane à la ville et Josiane au Boulou. Des aventures palpitantes dont Josiane, fraîchement arrivée de ses terres lointaines, le plus souvent revêtue de son bel uniforme de Préfète se sort toujours...merveilleusement bien. Ouf, on respire mieux d'un coup.

    Autant dire qu'avec Josiane, l'Indépendant se comporte comme un vrai chevalier servant. A vous faire regretter le bon vieux temps de l'ORTF.


  • Le Maire à temps (trè) partiel de perpignan a une nouvelle lubie qui fait beaucoup rire ses co-listiers et fait grincer des dents certains. Après son obession pour la ville de Marracash, voilà que Pujol s'est entiché de Marco Polo! Non, l'élu de la cité catalane ne songe pas ouvrir une pizzéria dans le centre-ville (pas fou, il aurait top peur de devoir payer la taxe sur les terrasses).

    Par contre, il va profiter de ses vacances de Noel pour partir jouer les explorateurs en Mongolie aux prochaines vacances de Noel. Et c'est en Mongolie donc que Pujol va s'adonner à son activité favorite : la chasse. Et là-bas, il va pouvoir chasser le Marco Polo, une espèce de mouflons dont il faut peut-être préciser qu'elle est protégée.

    On comprend qu'avec un tel projet, Pujol n'ait pas vraiment envie de perdre son temps à gérer la ville. Mais qu'il fasse gaffe quand même car en politique, c'est bien connu : qui va à la chasse finit par perdre sa place.


  • La scène se passe à la sortie de l'Hôtel de Ville hier après-midi, comme le rapporte le journal L'Indépendant.Jean-Marc Pujol sortait de son bureau (en soi c'est déjà une information) se fait méchamment prendre à partie par un  demandeur d'emploi désespéré par la fermeture de la maison de l'emploi qui vient d'être décidée. Une altercation assez vive pour obliger le chauffeur de Monsieur le Maire à intervenir et plaquer au sol l'individu.

    Après une telle scène qui en soi n'a vraiment rien de drôle, nous conseillons tout de même à Jean-Marc Pujol de recaser dare-dare la directrice de la Maison de l'emploi si il ne veut pas subir les assauts tout aussi véhéments du mari qui n'est autre que Jean-Paul Alduy. Franchement, il aurait de quoi l'avoir mauvaise JPA, car une directrice de maison de l'emploi qui finit au chômage, cela fait quand même désordre sur un C.V. !






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires